Statistiques d’accès aux ressources numériques et à l’ENT

Les statistiques GAR d’accès aux ressources numériques

2020 – 2021 indicateurs d’accès aux ressources

continuite-pedagogiqueAu 25 novembre 2020, 521 441 licences ont été commandées par les lycées 4.0
pour un montant de 4 595 516,05 €.

491 000 accessions au GAR, 1 000 000 d’utilisateurs à MBN au 16 novembre

2019 – 2020 indicateurs d’accès aux ressources

395 362 licences ont été commandées par les Lycées 4.0 sur l’année pour un montant de 3 473 896,84 €.

Sur la période du 02.0.8.2019 au 31.05.2019, sur l’académie de Nancy-Metz, nous relevons 2 610 893 connexions. C’est à dire 72.3 % de l’utilisation des connexions aux ressources numériques dans le secondaire.

Sur la période du confinement (covid-19), nous relevons 391 336 connexions, soit 15% de la part annuelle.

Répartition des connexions :

 
Répartition des connexions en lycée
 

 

2 433 508  connexions aux manuels numériques

115 248 connexions à des ressources sur abonnement dont 40 884 à Labomep

22 995 connexions aux plateformes d’entraînement

13 103 connexions aux BRNE

11 832 connexions aux ressources Eduthèque

10 882 connexions à PIX

2893 connexions aux BRRE

432 connexions à Jules Devoirs faits (CNED)

 
Elles permettent d’évaluer les accès aux ressources en ligne et ne rendent pas compte des usages des ressources téléchargées par les élèves. L’examen des usages par établissement recouvre des réalités contrastées. L’utilisation effective des ressources dépend de nombreux facteurs (pilotage du projet en établissement, temps de mise au point technique du dispositif, maturité numérique des équipes etc.).

Une certaine disparité se fait jour et peut s’interpréter ainsi :

  • Certains établissements exploitent fortement l’accès aux ressources, avec des taux d’accès très supérieurs aux autres lycées. Les usages existent évidemment en semaine, mais également les week-ends et pendant les vacances, ce qui montre que l’accès à la ressource à la maison est un élément indispensable.
  • D’autres établissements ont des statistiques d’usages moins importantes. L’interprétation est double :
    • L’établissement a évolué dans ses pratiques pédagogiques vers une utilisation de plus en plus importante de ressources non éditoriales, démontrant ainsi son indépendance pédagogique et sa créativité facilitée par le dispositif : création de parcours Moodle, accès à des ressources plus ouvertes…
    • L’établissement connait encore des difficultés pour se connecter aux ressources en ligne et fait (ou va faire) l’objet d’un accompagnement particulier par les académies.
  • Il ne faut pas négliger l’accès hors ligne aux ressources (téléchargement en local) qui échappe à ces mesures et qui a tendance à devenir la norme pour certains établissements.

Les statistiques d’accès à l’ENT

Les usages pédagogiques du numérique s’intègrent pleinement dans les projets d’établissement des lycées retenus. Ils permettent de proposer à chaque élève des méthodes d’apprentissage adaptées à ses besoins, favorisant ainsi la réussite scolaire et développant l’autonomie.

Les usages de l’ENT se développent comme portail éducatif d’accès aux ressources favorisant des pratiques pédagogiques collaboratives et de personnalisation des parcours.

 

 

Dès la première année, le dispositif 4.0 a permis de développer les usages. Les constats sont une utilisation légèrement plus importante par les parents, une utilisation nettement plus importante par les professeurs et par les élèves. Les deux autres vagues de déploiement n’ont fait que valider ce constat.

En 2018-2019, les graphiques illustrent l’écart entre lycée 4.0 et lycées hors du dispositif, avec une accentuation de ce phénomène sur la seconde année : l’augmentation du périmètre n’a pas amené de tassement de la fréquentation moyenne, mais une augmentation de l’écart entre les deux catégories d’établissements.

Alors que depuis 2006 et le début de Place, les collèges ont toujours été en avance sur les lycées en ce qui concerne les usages de l’espace numérique de travail, le dispositif 4.0 a fait s’inverser cette hiérarchie et les lycées sont en pointe sur les usages de MonBureauNumerique. Le dispositif stimule visiblement les usages numériques et dynamise l’implantation de la culture numérique dans les lycées.

Avec la période de confinement liée à la crise sanitaire l’activité des professeurs a été multipliée par 5 et celle des élèves par 3.